Alerte à Miami (PV)

Déborah fut installé à Miami Beach depuis un jour, elle décida pour se détendre et pour faire connaissance avec les habitants de la ville, de se rendre à la plage.
Celle-ci est bordé d'une eau turquoise où l'on peut voir le fond de l'océan et quelque petit poisson s'épanouir. Ce jour la il y avait du vent, elle posa ses affaires et se laissa porté par les flots. A sa gauche s'étendait à des kilomètre la plage de sable fin et à sa droite un bloc rocheux de 3 mètre de haut qui s'étendait de la plage jusqu'a au moin 2 mètre de profondeur dans l'eau. Il était très facile de monter au sommet et de s'en servir de plongeoir. Déborah se lança aussitôt.

Pour le plus grand bien de tous, le week end était enfin arrivé. Lauryne adorait les samedi après midi, elle en profitait pour voir ses amis et décompresser un peu. Car pendant la semaine, elle passait la plupart de son temps à étudier afin de rentrer dans une grande école. Bref reprenons. C'est en ce samedi après-midi ensoleillé, que Lauryne avec rendez-vous avec quelques amis au café du coin afin de déguster une glace. Elle c'était préparé dix minutes avant, en ayant enfilé un simple short en jean et un débardeur blanc. Elle c'était coiffée rapidement, laissant ses cheveux bouclés voler au vent. Ses petits pieds reposait dans une fine paire de tennis assorties au tshirt.

Pour accéder à la rue sympathique où se trouvait le café, elle décida de passer par un petit chemin - que beaucoup de personnes ignore - qui traversait des montagnes de rochers et cailloux en tout genre. De l'autre côté de ces cailloux, se trouvait l'immense plage de Miami et sa belle mer claire et profonde. Elle avait découvert cet endroit, un soir, alors qu'elle se promenait sur la plage après une longue journée, afin de réfléchire à son avenir. Depuis, elle n'hésitait pas une seconde pour emprunter ce chemin. C'est donc de bonne humeur qu'elle se lança sur sa route, marchant à une vitesse normale, impatiente de retrouver ses amis.

A la fin du chemin rocheux, il fallait traverser quelques metres sur la plage afin d'acceder à la rue. Elle se posa sur un gros cailloux puis prit le temps d'enlever ses chaussures. En même temps, elle entendit des bruits de souflement et de dégringolement de petits cailloux derière elle. Elle se releva rapidement puis contourna l'immense rocher. Elle apperçut une jeune femme, en train d'essayer de grimper au sommet. Tenant ses chaussures dans une main, elle s'approcha d'elle puis lui dit :

- Si j'étais à ta place je n'essayerais pas, c'est dangereux tu sais ?

La demoiselle était plutôt jolie, petite blonde avec un bon style. Elle ne l'avait jamais vue auparavant, et ne prévoyer pas forcément de la revoir. Elle tenait juste à la mettre en garde afin qu'elle ne se blaisse pas.

Après s'être mis en maillot de bain, Débo se dirigea vers ce bloc rocheux. Elle avait déchaussés ses chaussures, qui était que de simple ballerines de chez bensimon model unique évidemment. Ses premiers pas fur dure, le sable étant très chaud elle eu du mal à marcher. Elle commença à monter sur le bloc où sous ses pieds de petits cailloux tombait, ce qui lui faisait perdre l'équilibre. Tout à coup elle entendit une douce voix, qui lui conseillait de me pas marcher ici.

- Tu es qui pour te permettre de me dire ça?

Cette jeune fille semblait plus jeune qu'elle. Et vu son look elle ne devait pas être une Very.Riche.People. Déborah la regarder comme une moins que rien qui n'a pas son mot à dire. Elle poursuivit son chemin et arriva au mort du bloc rocheux. Elle s élança puis sauta dans l'eau.

Son regard était fixé sur la jeune blonde. Elle s'approcha de plus en plus d'elle, en enjambant les petits rochers. Elle la regarda monté, jusqu'à ce qu'elle se retourna pour lui cracher une réponse avec un air superieur. Sur le coup, Lauryne ne réagit pas. Elle n'avait pas l'habitude qu'on lui réponde ainsi et espérait croire qu'elle n'avait pas bien entendu sa réponse. Puis, d'un air moqueur, elle la regarda grimper jusqu'au sommet et sauter ensuite dans l'eau. Elle soupira, remarquant en même temps son maillot de bain de grande marque. Elle comprenait mieu maintenant, la belle blonde faisait partit de ses gens riches qui passent leur temps à critiquer les autres. Lau' se rapprocha de la mer, là où la demoiselle avait plongé.

- J'espère qu'un gros poisson va venir te manger !

Elle la regarda avec un petit sourire, toujours l'air moqueur. Elle avait répondu ça par simple défence. Même si elle était très gentille, elle ne tolérait pas que quelqu'un lui parle mal. Et puis elle savait très bien qu'elle ne se ferait pas manger, mais Lauryne ne voulait pas lui balançer des gros mots au visage, puisqu'elle ne la connait même pas.

Après avoir sauté dans l'eau, Deborah remonta à la surface et aperçut la gamine sur la plage de l'autre côté d'où elle était il y a quelques minutes. Elle nagea jusqu'à la plage, pris sa serviette et s'essuya rapidement. Elle laissa tombé comme un plume sa serviette sur le sable chaud et s'avança vers l'enfant aux regards moqueur.

- Pour qui tu te prend? Tu te comporte comme une fillette de 10 ans.

Déborah regarda la gamine avec un regard de haine, comme si les gens pas riche ne devait pas parler au riche, et encore moins de cette façon. La jeune fille avait des cheveux blond légèrement ondulé terne sans vie. Elle portait des vêtements qui provenait surement de carrefour ou autre magasin français de se genre.

Elle regarda normallement la jeune fille qui s'approchait d'elle. Elle voyait dans son regard de la haine. Mais Lauryne n'avait pas peur de cette petite blonde, loin de là. Elle se moquait completement des regards des autres et peu importe ce qu'elle lui dira, Lau' n'y tiendra pas compte et continuera à vivre sa vie tranquillement & paisiblement. Une fillette de 10 ans ? Elle ne voyait vraiment pas le rapport. Quesqu'il y avait de gamin à prévenir une jeune fille du danger qu'il y avait de se jeter du rocher ? Elle ne supportait pas ce genre de personne, et se rendit compte qu'elle commencait à perdre son temps.

- Bon, c'est pas que j'aime pas te parler, mais j'ai vraiment d'autre chose à faire là. Et je suis sûre que tu serais désemparée si tu me méttais en retard, hein ?

Elle lui adressa un sourire moqueur puis remarqua que la jeune femme fixais ses vêtements avec dégoût. Lauryne leva les yeux au ciel et soupira. Elle préfèrais largement rester ce qu'elle etait que de s'habiller avec des minis bikini et mal parler à des inconnus. L'air de rien, elle se retourna, et marcha vers son objectif; le café. Mais à peine deux mêtres plus loin, elle se retourna puis ajouta :

- Enfaite je n'aurais pas dû te prévenir, et même ne jamais t'avoir adressé la parole. Désolée de t'avoir fait perdre ton temps.

A la fin de cette phrase, elle fixa le visage de la demoiselle pendant quelques secondes, puis se retourna et avança.

- Très bien, pour te montrer que ce rocher et sans danger, je vais remonter dessus et ressauter dans l'eau.

Déborah détacha ses cheveux comme une déesse de la mer, et marcha comme une mannequin vers le bloc rocher. Ces bensimon était rester en haut lors de son premier saut. Elle grimpa sur le sommet avec finesse et légèreté. Tout à coup elle se tordis la cheville et tomba dans l'eau comme une chaussure balancer inutilement. Elle se retrouva dans l'eau et bu la tasse. Elle eu alors du mal a revenir sur le bord de la rive. Elle espérait de tout son coeur que la jeune fille trop prudente aille l'aider.

- Au secour! Je t'en supplie.. blourp blourp. Viens m'aider!

A bout de force elle commençait a se noyer. Finalement cette "gamine" avait peut être du coeur, et irait l'aider avec courage. Si c'était le cas Débo ne serait comment la remercier. La jeune fille lui aurait sauver la vie.

Lauryne se retourna une nouvelle fois après les paroles de la demoiselle. Déja elle lui avait mal parlée mais en plus elle voulait faire sa belle et replonger une nouvelle fois. Elle ne bougea pas de place, et la suivit du regard avec un air qui disait qu'elle s'en fichait complètement. Elle se força de la regarder se vanter de ses belles formes, en marchant comme une mannequin. Il fallait avouer qu'elle était jolie, mais Lau' detestait les gens narcissiques. Elle s'approcha du rocher lorsque la demoiselle s'apretta à sauter. Malheureusement, avant même de pouvoir s'élancer, elle trébucha et tomba dans le vide, puis atterit dans l'eau.

Lauryne fit de grand yeux étonnés et lacha directement toutes les affaires qu'elle portait. Ces dernières tombèrent au sol. Ne sachant pas quoi faire d'autre, elle courra vers la mer avant de plonger.

- Putain mais elle est folle !

Lauryne n'avait même pas prit le temps d'enlever ses vêtements. Son short et son tshirt lui collait à la peau, et ses cheveux étaient trempés. Elle se dirigea le plus vite possible vers la riche inconnue. Puis, essayant de la porter comme elle pouvait malgrès ses muscles faibles, elle l'amena au bord de la plage. Là, elle prit le temps de la coucher lentement sur le sable puis examina sa cheville. Ayant complètement oublié les propos méchants qu'elle lui avait fait elle lui demanda..

- Ca va ? Quesqu'y t'es arrivé ? Ca va pas d'avoir sauté comme ca ! Je t'avais dit de faire attention ! Holala mais il faut apeller un medecin !

Lau' était complêtement paniquée. Elle ne savait pas quoi faire et elle détestait voir les gens souffrir. Elle se releva et chercha du regard un maitre nageur qui surveillait les environs. Une fois repéré, Lauryne s'agita dans tous les sens, en lui adressant de grands gestes, espérant qu'il allait réagir et venir.

Déborah était un peu dans les pommes à cause de toutes ses émotions. Elle était terriblement paniquer à la suite de sa chute. Elle n'en revenait pas que la jeune fille soit aller spontanément la sauver. Elle ne trouva pas les mots pour la remercie. Elle regarda vaguement sa cheville enflé. Tout à coup, la jeune sauveuse fit de grand geste un peu maladroit vers un homme aux muscles bien marqué qui courrait dans notre direction. Cela lui mis le sourire aux lèvre, cette scène lui rappelait Alerte à Malibou. Débo esseya de se lever comme elle pu, mais sa cheville lui faisait atrocement mal.

- Aïe! Merde j'espère qu'elle n'est pas casser sinon je vais devoir dire adieu à ma carrière de mannequin!

Elle regarda la sauveuse dans les yeux et alla presque oublier de la remercier. Débo avait assez honte de son attitude précédente. Elle lui fit un petit sourire en ce tenant sur une jambe.

- Excuse moi de ne pas t'avoir écouter et merci de m'avoir sauver.

Elle alla en boitant jusqu'à son sac à main Dior et sortit son carnet de chèque puis y inscriva la somme de 1000$ et signa. Elle voulait remercier la jeune fille pour se geste si gentil.

- C'est quoi ton nom?

Lauryne ne pût sempecher de rigoler discretement lorsque la jolie blonde fit la remarque que si sa cheville était cassé, elle devrait dire adieu a sa carrière de mannequin. Heureusement pour elle ce genre de chose se répare ! Et puis même ce n'était pas vraiment le moment de penser à ca. Pour le moment elle se concentra sur le maître nageur qui arrivait à grand pas. Il était plutôt beau goss, bien formé, jeune, un maitre nageur quoi ! Lau' lui expliqua rapidement ce qui était arrivé afin qu'il puisse l'examiner. Le jeune homme, après avoir touché et regardé la cheville de la demoiselle, conclue que ce n'était qu'une simple entorce et qu'il fallait qu'une semaine pour réparer ça avec un simple bandage et de la crème. Lauryne fut soulagée, même si elle ne la conaissait pas.

Le maître nageur retourna à son poste, et Lau' remarqua que la victime était en train d'essayer de se lever. Par reflex, Lauryne lui proposa son aide en la tenant par le bras. Elle la regarda avec un air interrogative lorsqu'elle s'approcha de son sac afin de prendre un chèque. Lorsqu'elle apperçut la somme qu'elle inscrivait, Lau' fit de gros yeux ronds.

- Nan mais ca va pas ? Je préfère largement que tu t'excuses poliment que de m'offrire une telle somme d'argent !

Même si elle n'était pas aussi riche qu'elle, l'argent ne l'interessait pas. Elle vivait très bien comme ça et n'avait pas besoin de fringues ou de sacs de grande marque pour être heureuse. Le fait de l'avoir sauvé était totallement humain, et pour Lauryne tout le monde aurait agit de la même façon. Personne ne laisserait quelqu'un se noyer sous ses yeux !

Déborah ne compris pas sa réaction. Tout le monde aurait accepté de l'argent! La somme était médiocre comparée à la vie que la jeune demoiselle avait sauvée. Elle soupira.

- C'est que 1000$ ! C'est rien par apport à ce que tu as fait! Sinon je te propose une journée shopping au centre commercial pour les riches! Il faut bien que je te remercie comme même !! Mais tu m'as toujours pas répondu, c'est quoi ton nom?

Déborah signa sont chèque. Même son carnet de chèque montrait à quel point elle avait de l'argent. Il était bordé de petite dentèle sur les quels se trouvait quelque petit diamant. Après que le super beau nageur diagnostiqua sa cheville, elle se dirigea avec sa sauveuse vers le médecin de plage. Celui ci lui mis de la crème et lui banda son pied de princesse. Après l'intervention elle retourna vers les lieux de l'accident et déclara à la jeune inconnu toutes ses excuses. Elle attendait encore la réponse le celle ci, pour remplir le chèque de 1000$. Tout à coup elle se rappella qu'elle avait un rendez vous avec un charmant jeune homme trouvé sur internet. Mais finalement elle était tellement en bonne compagnie qu'elle décida de rester où elle était. Elle fi un large sourire à la demoiselle qui était peut être devenu son amie.

Que 1 000$ ?! C'était la première fois que Lauryne entandait quelqu'un direça. Enfin.. non. Il faut avouer qu'elle a connu tellement de gens riches, qu'elle avait déjà entendu cette phrase sortir de la bouche de quelqu'un. Bref, une chose est sûre: jamais elle n'accepteras son argent en guise de remerciement. Puis, la jeune fille lui proposa une journée shopping. C'est pas que Lauryne n'aime pas ca, au contraire, mais elle se voyait mal en train de porter des vêtements Chanel, D&G, Louis Vuitton ou tout autre vêtement de grands couturiers. Cela ne l'interessait pas. Elle soupira avant de répondre :

- Lauryne.. Parker. Mais je t'interdis de me donner ce chèque ! De toutes façon il finirait déchiré. Et pour ce qui est du shopping, pour le moment je suis complètement trempée.

En effet, ses vêtements lui collaient à la peau, ses beaux cheveux blonds étaient tout mouillés. Elle n'avait pas vraiment le look du genre à se balader au centre commercial, ni se balader tout court d'ailleur. Pour le moment , elle pensait plutôt à rentrer chez elle pour se changer, puis retrouver ses amis afin de leur raconter toute son histoire de sauvetage.

Déborah se mis tout de suite à rire vu dans quel état se trouvait la jeune fille. Elle ressemblait à un petit rat sans défense tout mouillé comme ça. Heureusement Débo à toujours un sèche cheveux à pile avec elle, elle ne supporte avec avoir les cheveux mouillé ! Elle fouilla dans son immense sac Longchamp et trouva enfin le petit sèche cheveux. Avant le prêter à Lauryne Parker elle se sécha d'abords ses cheveux. Après quelques longues minutes de coiffage, elle tendit le majestueux objets à la jeune fille.

- Tiens sa peut toujours être utile. Mieux vos de sécher les cheveux si tu ne veux pas tomber malade.

En attendant, elle sortit une lime à ongle et commença la manucure sur les lieux. Oui car à cause de sa chute elle s'était cassée plusieurs ongles. Elle avait toujours sur elle une lime, et une base transparente. Oui les ongles aussi on besoin d'une attention particulière.

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